Site de l’institut national des études démographiques dédié aux statistiques relatives à la population( natalité, fécondité, mortalité, migrations).
Moteur de recherche rendant accessible des ouvrages de très haut niveau académique dans tous les domaines
de l’administration centrale des ministères en charge de la santé et des affaires sociales.
Site très utile pour recueillir des données sur la précarité, la pauvreté, l’endettement la consommation
Chaque pôle régional, possède son propre site Internet .
On y trouve des ressources bibliographiques et informatives précieuses pour l’étudiant en travail social. Les forums thématiques sont largement utilisés pour des échanges entre étudiants et professionnels et la circulation d’information autour des mémoires.
Site également dédié à l’information et aux échanges entre étudiants et professionnels du champ social. Les forums, classés par métiers, sont très prisés par les étudiants en phase recherche car les contributions y sont importantes et de qualité.
Sites publiant des synthèses des extraits et des articles intégraux dans le champ des sciences humaines et sociales. Contenu académique de très haut niveau.
Site-Ressource publiant des guide de bonnes pratiques et de synthèse des expériences servant de référentiel en terme de bientraitance dans les établissements sociaux et médico-sociaux, sur des enjeux de pratiques généralistes ou sur des thématiques variées concernant différents types de publics
Site dédié à la recherche en travail social
centre de recherche dédié au handicap, dont je recommande particulièrement la bibliothèque virtuelle
Site de la CNAF dédiée aux politiques publiques en faveur de la famille
Réseau documentaire en sciences et action sociale.Une mention toute particulière à leur base de donnée Thesis: “ base bibliographique de thèses sélectionnées pour l’intérêt qu’elles peuvent constituer pour le travail social. »
Avant d’entamer ou de poursuivre plus avant vos travaux, il est judicieux de procéder à un bref bilan de vos forces et faiblesses, vous indiquant les points sur lesquels vous devrez concentrer vos efforts et les chapitres à privilégier dans la lecture de mon manuel
Cependant, pour surmonter vos points faibles et optimiser vos points forts, votre guidant /directeur de mémoire reste encore votre meilleur guide tout au long de votre processus de recherche – théorique et empirique – et lors de la rédaction. En effet, ce manuel ne saurait à lui seul vous guider dans l’élaboration de votre mémoire, car vous avez besoin de l’interaction féconde guidant-guidé, dans une relation à la fois rassurante et stimulante. Ainsi, votre directeur de mémoire est la personne ressource la plus à même de vous aider à surmonter les difficultés qui ne manqueront pas de se poser à vous, les interrogations, les doutes et les remises en question étant inévitables, à certains moments de l’élaboration de votre mémoire. Mais n’oubliez pas que, comme pour toute relation d’aide, il s’agit avant tout d’un échange : la relation « contractuelle » tacite qui vous lie à lui est faite de devoirs et droits réciproques.
Le cheminement qui conduit jusqu’à l’hypothèse et la démonstration de celle-ci, incluent souvent l’épineuse question de l’utilisation des mémoires d’étudiants qui vous ont précédé.
En effet, ce point divise bien souvent la communauté des guidants/directeurs de mémoire, comme en témoignent les positions que suscitent des demandes d’étudiant via les forums Internet, afin d’obtenir des mémoires sur « leur sujet ». Ainsi certains formateurs estiment-ils inutile, voire nocive, la recherche de mémoires sur le même thème, tandis que d’autres la recommandent. Pour les uns, il existe un risque non négligeable d’inhibition du processus créatif, les étudiants ayant tendance à s’inscrire dans les schèmes conceptuels des mémoires qu’ils consultent.
Pour les autres, la lecture des mémoires précédents sur le thème choisi constitue un apport important au même titre que tous les autres types de document de la bibliographie, et ce d’autant plus que le thème est appréhendé sous votre angle professionnel ou disciplinaire, ce qui n’est pas forcément le cas des autres ouvrages ayant abordé le sujet envisagé. Il ressort de ces deux points de vue que la lecture des mémoires peut être effectivement la meilleure comme la pire des démarches, en fonction de l’état d’esprit de l’étudiant apprenti-chercheur. Sans vouloir donner ici une recommandation tranchée, voici un mode d’emploi qui permet d’optimiser l’utilisation des mémoires existants, de manière à ce que non seulement elle ne vous desserve pas mais enrichisse votre propre cheminement intellectuel. Pour vous aider, voici donc les situations le plus fréquemment rencontrées par les étudiants au moment d’aborder un mémoire rédigé par leurs prédécesseurs.
La réalisation du mémoire vous angoisse. Vous avez des difficultés à vous représenter ce que l’on attend de vous dans cette épreuve. Les explications dispensées par vos directeurs de recherche et les différents manuels vous paraissent fort abstraites. Si vous êtes peu familiarisé avec l’écrit ou les travaux de type universitaire, il est légitime que vous ayez besoin de vous rassurer, en disposant d’un ou de plusieurs modèles de mémoire-référence. Pour cela, il n’est pas nécessaire, en tout cas dans un premier temps, de consulter des mémoires portant sur votre thème. En revanche, il est conseillé de lire des mémoires ayant obtenu les meilleures notes, afin de ne pas vous laisser induire en erreur par des mémoires descriptifs-bateaux, roman-fleuve ou d’une piètre qualité démonstrative. Attention toutefois, à ne pas considérer ces mémoires comme constituant un modèle de référence absolue, car n’oubliez jamais que la notation des jurys dans le secteur social comporte une part importante d’aléa pouvant être lié à leur subjectivité vis-à-vis du sujet ou de son traitement (représentations, facteurs idéologiques). Il n’est en effet pas rare, qu’un même mémoire suscite un écart de notation considérable comme en atteste mon expérience régulière auprès des étudiants que j’accompagne, dont le travail peut parfois donner lieu à plus de cinq points d’écart entre différentes notations.
Attention également aux mémoires et aux “trames” trouvées sur Internet, en particulier sur les sites commerciaux de rédaction/vente intégrale de mémoires clés en main (objectif parfois déguisé en réécriture). Il s’agit souvent de documents douteux destinés à appâter des étudiants en détresse via des devoirs présentés comme des modèles de référence, pour des prestations relevant du plagiat et de surcroît de qualité très aléatoire.
Sur Internet, en matière de mémoires disponibles, le pire y côtoie souvent le meilleur, et en tant qu’étudiant débutant en matière de recherche, il vous est parfois difficile de faire la part des choses entre un mémoire aidant et un mémoire pouvant vous induire en erreur sur le fond comme sur le plan méthodologique. Je ne compte pas en effet les étudiants m’ayant confié avoir perdu beaucoup de temps, en s’inspirant de modèles glanés sur le Net.
Je ne saurais donc trop vous recommander la prudence, lorsqu’il s’agit de rechercher sur le Web des mémoires intéressants pour vous, que ce soit sur le plan méthodologique ou sur la même thématique que la vôtre. Je vous conseille donc de n’utiliser que des mémoires figurant sur des bases de données académiques ou institutionnelles sélectionnant uniquement des travaux d’excellence .
Ne négligez pas non plus le centre de documentation ou la bibliothèque de votre centre de formation/université ou la plupart du temps les mémoires de votre filière sont en consultation libre. Claude Rasquin, professeur documentaliste auprès de futurs CESF recommande en ce sens de solliciter l’aide du documentaliste de votre établissement d’enseignement, le plus en amont possible de la recherche, car il s’agit d’une véritable personne-ressource qui connaît bien les problématiques d’étudiants en phase d’élaboration de leur mémoire. Et surtout, souligne-t-elle, il peut vous guider vers des bases de données spécialisés, et vous faire gagner un temps précieux. à partir d’une thématique encore large. Il pourra aussi vous conseiller utilement en vous recommandant la lecture de mémoires considérés comme bons par les formateurs.
Lors de la lecture d’un mémoire issu des sessions d’examens précédentes, destiné à vous servir d’exemple, indiquant une possible voie à suivre, il convient donc de procéder à un repérage méthodique des points clés pouvant vous aider à y voir plus clair pour votre propre recherche.
L’ensemble de ces repérages n’a pas pour but de vous conduire à recopier scolairement des formules toutes faites, ou des recettes à appliquer systématiquement sur votre propre démarche. Il s’agit plutôt de vous aider à vous approprier concrètement une approche nouvelle pour vous, exigeante et difficile, un ton et un style qui sont ceux des chercheurs, vous évitant ainsi de vous égarer dans les écueils fréquents chez les étudiants (qui vont de la compilation scolaire au mémoire militant…).
Au début de la recherche, vous êtes très intéressé par un thème, vous en connaissez déjà beaucoup par le terrain et vos lectures, mais vous n’arrivez à en tirer aucun « problème », aucune question de départ, bref vous ne savez pas « par quel bout le prendre ». Retenez tout d’abord que la lecture d’un autre mémoire sur le même thème que le vôtre ne vous donnera pas « clé en main » un angle d’attaque puisqu’il ne s’agit pas de « pomper » celui d’un autre mais, chemin faisant, en découvrant sa démarche, ses analyses, de dégager des points connexes, des dimensions évoquées mais peu ou pas développées… C’est dans cette matière que vous trouverez (peut-être…) des idées qui sont des chemins de traverse pour le fil conducteur du mémoire que vous êtes en train de lire mais peuvent devenir votre fil conducteur à vous, pour votre propre recherche.
Sachez en outre que toute démarche de chercheur commence par faire le tour de ce que ses prédécesseurs, dans le même champ que lui, ont produit avant lui sur son objet de recherche. Et ce, sur le principe que la connaissance n’avance qu’en capitalisant sur celles produites antérieurement.
Enfin, la lecture des mémoires appartenant à votre champ d’intérêt va vous rassurer par rapport à votre état initial, à condition de ne pas vous laisser impressionner par la « réussite » de votre prédécesseur : vous qui n’envisagiez au départ aucune piste resserrant votre sujet, vous avez désormais la preuve que d’autres avant vous ont pu mener à bien une recherche à la fois originale et pertinente sur votre thème, et dites-vous bien qu’au point de départ, l’auteur de la recherche qui vous semble si brillant a pu connaître les mêmes tâtonnements et blocages que vous.
Cette prise de conscience est de nature à vous redonner confiance en votre capacité à interroger davantage vos premières connaissances sur le sujet.
Marie, étudiante CESF, était désespérée car, s’intéressant au maintien à domicile des personnes âgées, elle amassait depuis des mois une documentation impressionnante, qui se rajoutait à ses propres observations de stagiaire, au sein d’un comité de coordination gérontologique. Le « nez sur le guidon », elle finissait par appréhender toutes ces informations comme une masse de données indistinctes desquelles rien d’intéressant ne semblait se dégager. La seule chose dont elle était sûre était son désir de travailler sur la dépendance/les difficultés du maintien à domicile du quatrième âge… Vaste champ d’investigation effectivement. Facteur d’angoisse supplémentaire : plus Marie lisait des ouvrages sur le sujet, plus elle se disait que « tout avait déjà été écrit sur ce thème », avec le sentiment diffus qu’elle risquait de répéter et compiler les travaux d’autres chercheurs. Elle se tourna donc vers un forum Internet en déposant une bouteille à la mer, sous la forme d’un SOS mémoire : « Qui aurait des idées sur mon sujet de mémoire : le maintien à domicile des personnes âgées devenues très dépendantes ? » Outre des réponses la renvoyant vertement à son propre processus d’interrogation du réel, elle reçut la réponse d’une ex-étudiante assistante sociale qui lui proposa de lui prêter son mémoire réalisé sur ce thème. Dans un premier temps, Marie se jeta avec avidité sur ce mémoire téléchargé, pensant découvrir une solution à son « manque d’idées ». Hélas, lorsqu’elle arriva à la dernière page, elle reposa le mémoire encore plus désemparée, se disant qu’elle n’arriverait jamais à produire un mémoire aussi pertinent et original. En effet, occupée à dévorer la substantifique moelle de ce mémoire, elle n’en vit que la singularité : l’étudiante assistante sociale avait abordé la question de l’aggravation de la dépendance sous l’angle de l’ambivalence des aidants familiaux, particulièrement des filles appartenant à la génération dite pivot.
Puis, après quelques jours de profond découragement, notre étudiante médita les propos de la jeune assistante sociale compatissante : « Il a été très frustrant pour moi de resserrer ma question de départ uniquement sur les aidants familiaux […] je n’ai fait que survoler la question de la dépendance en n’en traitant qu’un tout petit aspect… »
Suite à cette remarque, Marie décida donc de prendre du recul par rapport à sa lecture initiale et feuilleta à nouveau le mémoire en adoptant une perspective de « chercheuse » d’indices et non plus de lectrice en quête de question de départ toute faite.
C’est ainsi qu’elle s’intéressa finalement à un point secondaire à la problématique de l’interaction personnes âgées-aidants familiaux, à savoir l’intervention des aidants professionnels. Marie finit donc par centrer sa question de départ sur les relations entre intervenants professionnels et aidants familiaux, question dérivée du questionnement initial du mémoire lu : elle prolongea le questionnement de l’assistante sociale en interrogeant les liens entre pérennisation de l’aide familiale et intervention des professionnels du quotidien.
Elle utilisa encore quelques éléments de ce mémoire pour le cadre théorique ainsi que quelques déductions issues de l’enquête de terrain, en les intégrant à sa propre réflexion. Ainsi, ayant repris confiance en elle, Marie s’est finalement totalement affranchie du risque de mimétisme avec ce mémoire-impulseur, empruntant par la suite son propre cheminement.
Pour ceux qui seraient tentés par la stratégie des « copiers-coller » d’’un mémoire antérieur, au profit du vôtre, sachez que cette « méthode », outre qu’elle est malhonnête intellectuellement (donc peu digne du futur professionnel intègre que vous souhaitez être ) s’est maintes fois révélée inefficace, car la tricherie apparaît très facilement à des jurys exercés à reconnaître ce type de supercherie. En effet, l’étudiant(e) finit toujours par « se prendre les pieds dans le tapis », à un moment ou à un autre, à l’écrit ou à l’oral…
Certains étudiants déclinent ainsi ma proposition de leur prêter des mémoires faisant partie de ma banque de consultation autorisée, car, m’expliquent-t-ils, ils ont peur d’être trop tentés de s’en inspirer, ou pire, de plagier sans s’en rendre compte. Bien que je trouve cela dommage de se priver d’une source utile d’apprentissage et de connaissances, je respecte cette réticence, car elle est effectivement fondée. Si vous sentez que vous vous êtes plutôt sur cette pente, dans ce cas-là, écoutez-vous et abstenez-vous, (en tout cas dans un premier temps) de lire des mémoires d’anciens étudiants. Vous pourrez toujours revenir sur cette décision, le cas échéant, lorsque vous serez plus avancé, dans votre propre recherche et plus sûr de vous. Pour terminer sur l’utilisation des mémoires, retenez, qu’utilisés à bon escient, les mémoires de vos prédécesseurs pourront vous rassurer, déclencher des pistes de réflexion, et constituer des exemples de référence, mais qu’en aucun cas ils ne vous apporteront votre question de départ, votre problématique, votre hypothèse ou le plan de votre mémoire. Il vous apporte un aperçu de la démarche d’ensemble, des idées, et éventuellement des ressources bibliographiques, ce qui n’est déjà pas si mal…
Phase descriptive /objectivante
II analyse
Idée découlante = le traitement des données, mon interprétation, le traitement des données / apports livresques éclairants
Transition Indicateur ou résultat 2Description /objectivante
II analyse
Idée découlante = le traitement des données, mon interprétation, le traitement des données / apports livresques éclairants
Transition Indicateur ou résultat 3Description /objectivante
II analyse
Idée découlante = le traitement des données, mon interprétation, le traitement des données / apports livresques éclairants
Transition vers sous partie suivantePour opérer le bilan des apports du mémoire, au regard de votre objectif de recherche (vérification de votre / vos hypothèse(s) ou traitement de votre question de départ/de recherche, par lequel débute l’introduction, la relecture intégrale du mémoire avec une prise de recul visera à synthétiser les apports du mémoire.
Pour cela, il peut être utile de confronter les différentes propositions contenues dans votre question de départ ou hypothèse(s) et de mettre en correspondance, ce qui dans chaque partie, a été découvert, en termes de résultats et de connaissances sur la problématique étudiée.
Propositions contenues dans l’hypothèse où la question de départ | Apports du mémoire | ||
---|---|---|---|
Proposition 1 | Éléments de compréhension du contexte | Découverte et résultats | Connaissance produite mes (esquisses de) théorisation |
Élément1 Élément2 ………….. Élément x |
Élément1 Élément2 ………….. Élément x |
Connaissance/théorisation1 Connaissance/théorisation2 Connaissance/théorisation3 |
|
Proposition 2 |
Élément1 Élément2 ………….. Élément x |
Élément1 Élément2 ………….. Élément x |
Connaissance/théorisation1 Connaissance/théorisation2 Connaissance/théorisation3 |
Proposition 3 |
Élément1 Élément2 ………….. Élément x |
Élément1 Élément2 ………….. Élément x |
Connaissance/théorisation1 Connaissance/théorisation2 Connaissance/théorisation3 |
Si vous rencontrez des difficultés purement rédactionnelles, voici différents mémos récapitulatifs facilitant votre travail d’ écriture
Objectifs | Locutions à utiliser |
---|---|
Rapporter l’évocation de faits, des récits, narrations | –…… dit-il, relate-t-il, développe-t-il, met-il en avant,…… précise-t-il, …… reconnait-t-il – ajouter, émettre, préciser, confirmer, proposer, signaler, noter, relever, remarquer que….. X relate, me fait part du fait que, revient à plusieurs reprises sur le fait que, mentionne, me narre en détail longuement… – Monsieur X. indique, rapporte que, témoigne de, évoque…, |
Rapporter des ressentis | – se plaint de…,s’attriste, se sent, s’estime lésé, me fait part avec émotion de son sentiment de/d’être, se déclare affligé, |
Rapporter des opinions et idées | « …., analyse t-il, décrypte-t-elle «, Mme Z souligne que « … » ; explique-t-il,
compare-t-il, argumentent l’ensemble des professionnels, arguant de…..
exprimer l’idée que/l’hypothèse que,
X et Y privilégient l’interprétation selon laquelle, |
Pour amener le doute, une hypothèse, un questionnement, l’ambivalence, l’hésitation | supposer, s’étonner, soupçonner, se demander si, s’interroger, hésiter |
Caractériser le plus objectivement possible le positionnement, la tonalité de propos rapportés, traduisant l’acceptation | – accepter, acquiescer, adhérer, s’engager approuver, concéder, consentir, souscrire à |
Caractériser le plus objectivement possible l’expression, le positionnement, la tonalité de propos rapportés, traduisant l’opposition. | – Mme X manifeste son désaccord, réfute avec véhémence, virulence, fermeté, vigoureusement
– s’emporte-t-elle, redoute-t-elle, – Monsieur Y déplore, se plaint de, dénonce, conteste, s’indigne,, s’érige contre… – contredire, démentir, s’opposer à, émettre des réserves sur… désapprouver, désavouer, objecter, – … proteste X,…. récuse vigoureusement, – rejeter, répliquer regrette, se positionne contre, me fait part de sa vive préoccupation quant à…. |
Enoncer les propositions, demandes | – Mr Z souhaite, exige, revendique, réclame. – Y propose, suggère, Mr X, se positionne explicitement en faveur de…, estime nécessaire de…, met en avant une solution basée sur…, valorise l’option consistant à…. |
Introduire le recueil de données non verbales | – à l’évocation de… montre des signes de….. (pleurs, tremblements, regard baissé, fuyant) – lève les yeux au ciel, les mains avec un geste fataliste, soupire, hausse le ton – en riant, souriant, se grattant la tête, hochant la tête/secouant la tête, – … chuchote monsieur,…. s’emporte Madame, – …. avec émotion, avec une voix étranglée, quasi inaudible, …un rire nerveux, la voix prise par l’émotion, en hoquetant.., – lorsqu’il aborde….. devient soudain agité (tord ses mains, gestes d’irritation) avec impatience, colère, – d’un ton hésitant, résigné, abattu, fébrile, en détachant chaque syllabe, en appuyant sur le mot x, |
Fonction | Locutions de connexion |
---|---|
Introduire un nouvel élément | – En ce qui concerne…, concernant…, – Sur le plan de…, à propos de…, – En matière de….Dans le domaine de… – Quant à…,. Pour ce qui est de…, – Parallèlement. en outre, – Ce à quoi se rajoute, – L’enquêté évoque également, estime de surcroît, est aussi confronté (e) à |
Introduire une nouvelle idée, un fait qui se démarque du développement précédent, en l’affinant, le nuançant, le précisant ou le détaillant | – Or, ceci étant, il s’avère que, – Ce qui, au regard de…, – Entre-temps, auparavant, – A noter en outre que, – Du reste, – Et ce, alors que… – Plus précisément ; il convient à cet égard de préciser, précisons que, relevons que, nous pouvons établir que…., – Sous l’angle de, du point de vue de…, – dans une moindre mesure, – Plus particulièrement, plus précisément, |
Établir un lien entre 2 phrases ayant en commun le même objet, coordonner deux idées | – À propos duquel, de laquelle, desquelles, il évoque….. – Situation/fait/élément qui renvoie à… – Ce à quoi…, de sorte que, si bien que …. – Avec cet……, il s’agit de -Et ce , |
Introduire une information préalable secondaire, un élément connexe utile avant d’en arriver au vif du sujet | Pour situer le contexte, Rappelons que, Parallèlement, Il se trouve également que, Secondairement, Dans une moindre mesure, |
Établir un lien entre 2 phrases ayant en commun le même objet, coordonner deux idées | – À propos duquel, de laquelle, desquelles, il évoque….. – Situation/fait/élément qui renvoie à… – Ce à quoi…, de sorte que, si bien que …. – Avec cet……, il s’agit de -Et ce , |
Amener un contraste, une nuance, un paradoxe | Contre toute attente, Et ce, alors que, Néanmoins, toutefois, malgré cela, hormis cela, exception faite de, indépendamment de, En dépit de, malgré ce… |
Établir des liens de cause à effet, faire le lien entre une idée, un avis et sa justification factuelle, faire le lien entre les résultats et l’action projetée, les préconisations | – c’est la raison pour laquelle, d’où, en effet, effectivement – autant d’éléments qui influent sur, impactent – ce qui explique, indique, signifie, que – par-là, l’enquêté exprime, oppose, – pour toutes ces raisons, il s’avère utile de… – compte tenu de tous ces éléments, ci-dessus évoqués, au vu de…. – étant donné que…, – si l’on considère que…, – on peut aisément déduire de… que – afin de… – ce qui a entraîné, causé, conduit à… – cet élément/fait/discordance/conjonction/ce cumul d’éléments démontre, indique que – Cette évolution, situation problématique s’explique sans doute par…. – ces éléments mettent en évidence… – ce qui amène à penser que…. – cette évolution, problématique, situation a pour conséquence de… - il serait donc souhaitable de… |
Introduire une déduction, appuyer une idée, marquer son affirmation | – Nous pouvons ici postuler que, en déduisons que, – Cette analyse,ces propos suggère(nt), indiquent que…, vont dans le sens de, llaissent à penser que… – En cela, il indique/démontre que…. – Certes, il apparaît clairement que…, il en ressort que, il est dès lors indéniable que… – il est vraisemblable que, vraisemblablement – on peut légitimement formuler l’hypothèse que |
Pour introduire phrase de bilan, de conclusion | – En définitive, enfin, autrement dit, en conclusion, pour conclure, avant d’achever,pour conclure, en conclusion, – A l’issue de …. |